L’ADDICTION VOUS VEUT DU BIEN

Les addictions constituent une sorte de pansement ou d’automédication que votre cerveau a trouvé à un moment donné de votre parcours de vie pour soulager votre tension nerveuse ou surmonter des difficultés psychiques après un ou plusieurs événements traumatisants.

Ainsi, certains consommateurs de cocaïne en prennent pour calmer des troubles de l’attention : sniffer leur permet de se concentrer. Pour d’autres, l’effet de la cocaïne décuplera leur désir sexuel ou gommera leur fatigue ou encore les rendra beaux et forts à leurs yeux ! C’est sûrement pour cette raison que notre cerveau est incapable de décrocher : il a trouvé le moyen d’apaiser un état interne de souffrance pour le remplacer par des sentiments éphémères.

L’alcool, pour sa part, anesthésie les sens ; l’alcoolodépendant ne ressent ni souffrance ni douleurs. Il est aussi un moyen de dépasser sa timidité en s’ouvrant aux autres. L’alcool est une drogue légale… dont les effets sont sous-estimés.

Les jeux de hasard, eux, donnent l’illusion au joueur de devenir riche à chaque instant… Le casino devient son lieu préféré, les consommateurs du café PMU deviennent sa famille qui l’accepte et l’accueille tel qu’il est. Encore une illusion.

L’addiction nous veut du bien. Cependant, on le sait, ses conséquences sur notre vie sont dévastatrices. Plus le temps passe, plus le plaisir cède la place au déplaisir, au désespoir et à bien d’autres émotions négatives.

Dans la mesure du possible, il est important que l’addiction soit identifiée et reconnue par les pairs, les proches, les amis, les professionnels, les collègues. Pour cela, la sensibilisation et la formation dans le milieu professionnel, scolaire et privé me paraissent indispensables. Dépasser les addictions n’est pas chose aisée. Comme dans la vie, surmonter la maladie addictive n’est pas un long fleuve tranquille. Le chemin de la guérison peut s’avérer parfois long, mais c’est une opportunité d’explorer son monde intérieur, ses traumatismes, son histoire personnelle et même celle de ses aïeux/aïeules, de mieux se connaître, de dévoiler ses talents cachés. Et c’est là que le travail introspectif à travers les séances d’hypnose devient passionnant.

« La sagesse est fille de l’expérience et du temps. »
Léonardo De Vinci

C’est parce que je suis passée par là que je vous propose un accompagnement dans lequel je peux vous faire bénéficier de mon expérience, de mon parcours personnel et de mon savoir-faire développé grâce à des formations dans le domaine des addictions. De plus, en tant que psychopraticienne, il me semble indispensable de poursuivre mon propre travail de développement personnel auprès d’autres thérapeutes comme de continuer à me former dans le domaine des addictions. Ainsi, je n’ai de cesse de progresser pour mieux vous aider.

Degré d’addiction – Test pour l’évaluer

Vous trouverez sur mon site internet (plus bas) des tests d’évaluation, tels que le célèbre test de Fagerstrom qui permet d’évaluer votre degré de dépendance à la nicotine, à faire soi-même pour déterminer si votre consommation du produit ou de l’activité est liée à une addiction (alcool, drogue, activité, trouble, compulsion). Ces tests sont des outils d’évaluation qui peuvent s’avérer utiles, cependant ils ne permettent pas de poser un diagnostic, ni de confirmer l’existence d’une pathologie, ni de l’exclure de façon certaine. Pour être vraiment au clair sur ce qu’il en est, un entretien avec un·e spécialiste est souvent indispensable.

Vous trouverez également sur mon site internet un journal de bord qui propose de consigner les comportements addictifs. Ces derniers revêtent de multiples facettes et provoquent des conséquences variables sur votre vie ou votre santé, selon le degré de votre consommation.

Enfin, je vous propose les liens ci-dessous qui amènent à des tests d’évaluation mis à disposition par différents organismes. Ils vous donneront une idée de votre degré de dépendance.

SURMONTEZ VOTRE ADDICTION

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